Collection Folle Du Cul. Maryse La Femme. L’Espagnol, Vieux Mais Très Bon Amant (1/1)

Comme je l’ai écrit à Chris, nous avons vu que j’ai rapidement compris que dans ma vie, j’aurais toujours en tête, le sexe.
Le sexe sous toutes ses formes et rapidement jeunes vieux se sont mélangés au gré de mes rencontres.
On sait pourtant que mon dépucelage a été laborieux, mais que Claudio a fini par y arriver.
Dès le premier récit, on sait aussi que j’ai baisé pour de l’argent avec déjà un vieux.
Pute peut être, mais pute heureuse, car comme la collection dans laquelle Chris71 me voit, il m’a classée, je suis folle du cul.
J’aime baiser, j’aime me faire baiser.
Claudio, que j’épouse et à qui je suis restée fidèle jusqu’à ce jour, reste et restera toujours mon amant de cœur, mon amant tout court.
Même si je me donne corps et âme dans des débauches sexuelles, c’est vers lui que je viens rechercher la quiétude intérieure à défaut de la quiétude de mon corps.
Ce corps que j’entretiens régulièrement, comme certains peuvent le dire après bien des années, je suis encore très baisable.
Chris avec qui j’échange des Mails presque journaliers, le sait bien.
Dans le sud où j’habite depuis quelque temps déjà, le week-end dernier j’ai répondu favorablement à un mail d’un ancien avec qui j’avais pris bien du plaisir.
Avec le confinement, j’étais restée sage tous ce temps.
Je lui dis très souvent que celui qui m’a sauté, hier où avant-hier serait le dernier.
Inexorablement, l’appel du sexe revient plus fort de jour en jour que s’espace ma dernière partie de jambe en l’air.
Claudio sait où je suis, chez un sexe ou avec un sexe dans un hôtel, toujours assez loin de chez moi.
Je le trompe sans vergogne, mais je le cocufie en le respectant.
J’aurais du mal à savoir que l’on parle de lui en disant « le cocu. »
Ce que je lui ai confié avec Rodolphe, c’est que j’avais retrouvé la bête de sexe que j’avais connu la première fois et qu’il était toujours prêt à satisfaire tous mes moindres désirs.


Je pratique la sodomie régulièrement et de ce côté, c’est le cas de le dire, il me fait prendre un panard hors du commun.
Rares sont mes amants qui arrivent à me faire jouir par ma rosette, à mon âge, elle est un peu défoncée.
Avec Rodolphe mes petites terminaisons nerveuses étaient toutes à la fête et il a su me faire jouir du cul aussi bien que je suis folle du cul.

Mais revenons à mon espagnol.
J’avais 17 ans et demi dans mon aventure avec mon vieil italien de 38 ans.
Entre lui et Roberto, six mois seulement, mais si je compte bien treize amants de mon âge voir légèrement plus jeune depuis ma première fois.
Treize, c’est mon chiffre me portant bonheur, car j’ai constaté que chaque fois que j’entraîne un homme dans mon pieu un treize, ma jouissance est totale.

Mi-janvier, j’ai couché avec Roberto l’Espagnol peintre et ami de mon père, la première fois dans ma chambre de jeunes pucelles, avec six mois d’intervalle avec mon patron de boîte de nuit.
Ces jeunes, ça baise à la va-vite, incapable pour la plupart de se retenir oubliant mon plaisir.
J’aime la branlette solitaire de mon clitoris, mais une bonne bite bien résistante, je préfère.
Roberto avec ses 52 ans, bien sur le retour en a fait partie.
Chez mon père donc dans ma chambre puis ensuite dans son atelier de peintre sous les toits dans Paris quartier Saint -Michel.

Je séchais mes cours l'après-midi pour aller le retrouver.
Sitôt chez lui, je me dénudais.
J’aurais aimé qu’il me prenne de suite, mais en homme d’expérience, il faisait durer le plaisir.
Derrière sa toile, il la quittait pour s’approcher de moi.
Il me relevait la tête en me prenant sous le menton.
Son contact depuis qu’il m’avait ouvert à nos jeux secrets, m’a fait mouiller.
Le secret de nos rapports, amplifiait mes besoins de l’avoir de plus en plus souvent en moi et je comprenais qu’en vieux pervers qu’il est, venir pour mon menton ou pour mon sein, ça faisait partie de son jeu.

Une heure, des fois plus, le nu qu’il peignait de moi, avançait lentement, à croire qu’il avait peur que je le quitte.
Pourtant dans cette période lorsqu’il recouvrait sa toile, m’interdisant de la voir avant qu’elle soit terminée, c’est avec délice qu’il me rejoignait sur le sofa où il m’avait installée.
Dans son atelier, il y avait une petite estrade sur laquelle se trouvait un fauteuil, j’aurais pu poser là comme la plupart des tableaux non terminés autour de nous.
Sur le sofa, il lui était facile de me rejoindre, de m’écarter les cuisses et de me faire de magnifiques cunnilingus.
Cunnilingus suivi d’une pipe sur son sexe noueux d’un homme de son âge et ayant souvent baisé des petites salopes comme moi.
J’étais presque jalouse d’elle simplement à voir ce que mon peintre avait fait d’elles.
Je me souviens de celui où une jeune blonde se tenait assise sous le bout de ce fauteuil, les cuisses écartées presque d’un angle de180°.
Impudique, je le suis, mais dans cette posture, le léger voile parfaitement reproduit dans les moindres plis, montrait de cette jeune femme le sexe offert légèrement visible.
Qui aurait le courage de pendre dans son salon un tableau plus impudique que les poses que je peux prendre avec mes amants.
Dès le début, avec Roberto nous adoptons une attitude responsable.
J’aime baiser avec mon espagnol, mais je veux préserver mon père.
Inutile qu’il sache que sa fille est une belle salope qui aime se faire baiser de plus en plus souvent.
Le sexe à la dose où je le pratique est une vraie addiction.
Il est dit que le sucre en est une, mais le sexe, je peux l’affirmer, c'est pire.

Le week-end, lorsque je passe chez mon père et que Roberto est là nous nous faisons des tendres bises comme une fille avec l'ami de son cher et tendre papa.

Roberto, reste un tendre souvenir, j’ai beaucoup appris avec lui, mais la vie dure le temps qu’elle dure et la seule chose qui me reste de lui c’est un des tableaux qu’il a fait de moi et que j’ai toujours accroché dans mon salon.

Quand je trouve que ma vie va trop vite au gré de mes aventures comme celle qui suivra et qui parlera d’un autre vieux.
Étant dans les prénoms en finissant en « O », Roberto aurait pu croiser Ricardo italien, vieux de 42 ans que j’ai rencontré à Menton pendant des vacances avec mes parents.
Au début il était réservé, car il savait qu’il avait seulement un an de plus que ma maman.
Il se peut que ce soit lui qui m’ait sodomisée le premier.
Je vous promets de tout vous raconter dans le 5ème volet de mes aventures...

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